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Search eXperience Optimization où quand le SEO rencontre l’UX et le CRO

Le terme UX, inventé dans les années 90 par Donald Norman, professeur en sciences cognitives, se popularise dans les années 2000 où le métier de UX designer prend de l’ampleur, l’association française « Designer interactifs » a été fondé en 2006 et la Flupa, association des professionnels de l’experience utilisateur a été fondé en 2008. Le concept de SXO, lui, date de 2010, avec une agence de webmarketing Allemande nommée SEO Workers, en 2012, Matt Cutts, dans une réponse à un internaute désigne le SXO comme étant le meilleur terme pour nommer un ensemble de techniques utiles pour améliorer sa visibilité dans les moteurs de recherche.

La première fois que j’entends l’acronyme, c’est en 2015 et déjà Thomas Leonetti aka Yakiseo s’y intéresse déjà, il avait, entre autres publié un article sur son blog pepperseo sur le rapport entre l’UX et le cocon sémantique. Alors que de nombreux SEO critiquent le SXO en le qualifiant de poudre aux yeux, affirmant que le SXO ne reposait sur rien de concret voire que UX et SEO étaient incompatibles (qualités des images, chargement AJAX, etc…), les récentes leak de Google nous ont prouvé que les comportement utilisateurs étaient analysés par Google et que de nombreux rentraient dans le ranking.

On a pu lire de nombreuses définitions du SXO et de ses contours, c’est d’ailleurs certainement à cause d’une définition trop étroite que les SEO de 2015 critiquaient le SXO, par manque de visibilité, le limitant au temps de chargement et au CTR. Maintenant, la perception du SEO comme devant mettre l’humain au centre fait l’unanimité dans l’industrie du search, il me parait intéressant de questionner un de ses premiers défenseur, j’ai nommé Thomas Leonetti !

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